La descendance ARIBERT a
quelque chose de remarquable, en ce sens que peuvent se
cotoyer des cousins peu éloignés d'une grande richesse
tel Jean Jacques qui possédait l'hôtel Belmont à
Grenoble et qui laissa à sa mort près d'un demi million
de francs et d'autres comme Antoine ou Baptiste qui
moururent "journaliers vagabonds" à Pierre Châtel. Dans
leur région d'origine, le Beaumont, dans le sud de
l'Isère, la première citation est celle de Guillaume en
1426, notaire à Grenoble, qui se rendit au Château de
Pallafol pour y constater la présence illiscite du
Seigneur de Montorcier. C'est en 1449 qu'apparut Raymond
ARIBERT en tant que notaire à Beaumont (Saint-Pierre de
Méarotz) ; lors de la reconnaissance de 1461, sont cités
Jean et Raymond ARIBERT. Nous retrouvons la famille
ARIBERT à la fin du XVIIème siècle avec trois
représentants dans la commune des Méarotz : deux
protestants, Pierre dit Capitaine La Sablonza, capitaine
protestant (semble-t-il sans postérité) fils de Pierre,
cité en 1597, mort vers 1640 et Zacarie dit ARIBERT
CARIAT, fils de Philippe, vigneron aux Méarotz, cité en
1597, et enfin une famille catholique, dont Jean,
bourgeois aux Méarotz, mort avant 1597.
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